De l'encre et du papier

Je me demande chaque fois que je poste ici, l'utilité de le faire . 

Sur la page de l'encre je ne me posais plus la question, mais ici ?  41 abonnés dont la moitié se sont désabonnés des notifications qui les informent des publications . Une autre partie qui les reçoit mais qui n´ouvre pas ce courrier et le supprime directement . 

L'autre partie qui a son propre blog et qui par renvoi de politesse s'abonne au mien mais s'en tape le coquillard de ce qu'écrivent les autres ( ou bien n'aime pas mon style, ce que je cončois parfaietement ) mais alors dans ce cas la politesse sincèrement et sans passer par une autre politesse et cruement je m'en cogne . 

Alors pourquoi avoir choisi ce mode de diffusion plutot que de rester sur une page qui tourne à bientôt 12000 lecteurs ?

va comprendre Charles ......

Pourquoi ce mode de diffusion ne plait pas puisque la plupart de mes contatcts ne m'ont pas suivi ici ?

La facilité de facebook les rend feignants ou alors ils m'ont menti en me faisant croire pendant des années  Qu'ils aimaient mon écriture .

depuis le temps, je sais aussi que la plupart des auteurs sont nombrilistes, je pense à l'un d'eux en particulier . Celui là me fait mourir de rire..bref bref bref . Je ne suis donc pas étonnée que même ceux à qui j'ai donné une place sur ma page ne sont pas venus ici . 

Le monde de l'écriture est un monde égoïste, mais la plupart se disent dans le partage. Bien sur puisqu'ils savent , car égoistes mais pas stupides , que c'est un moyen pour eux ce partage d'être surtout lu eux . de l'auto promotion, de la pub ...pas plus compliqué .

constat que j'ai fait depuis bien longtemps .

ceci dit , mon écriture est ce qu'elle est et je suis bien consciente qu'il peut se trouver parfois des fautes malgré mes corrections, qu'elle est simple et sans prétention aussi mais je n'écris pas pour l'académie française non plus , j'écris pour être comprise de ceux qui lisent, sans qu'ils aient besoin du dictionnaire pour cela .

 Alors pour la toute petite poignée qui vient ici faire l'effort de me lire je vais encore poster mes textes simples de la vie, sur la vie et tant pis si la postérité n'en garde rien. 

merci Nicole 

merci Dominique 

merci Patricia 

merci à Jocelyne

merci Rosette 

merci Hedy 

merci à Martine ( excpetion à la rêgle du partage des blogs :-) ) 

merci à vous qui avez tout lu ou presque, qui êtes là pour m'encourager à continuer de poser mes modestes mots . Merci car sur la page de l'encre c'était acquis mais ici je recommence à zero ....

Tu as en effet bien grandi, te voilà aujourd'hui lycéenne et 30 minutes de chemin vers le savoir te mèneront un jour vers une vie meilleur .  Jolie jeune fille, tu viens d'un si beau pays, Quang Ngai , sera peut étre un jour le lieu d´un autre voyage et mettre un baiser sur les joues de cette belle filleule que je n'ai jamais vu sera alors le terme à ce long parainage qui t'aura permi d'étre une jeune fille scolarisée. Ce qui semble si évident chez nous est bien loin de la réalité chez toi. 

Petite fille au pays des couleurs nous te souhaitons plein de bonheur. 

le blog risque de rester silencieux pour un temps indéterminé. 

Raisons de santé qui m'obligent à étre distante.  Je suis désolée Pour les personnes qui me suivent et me sont fidèles depuis facebook . 

je vous souhaite le meilleur. 

bisette, Marie 

Hésitation . Regarder ou pas ? Revivre encore et encore l'instant ? Une interprétation, une adaption sur une réalité, bravo Alexandra Lamy, j'ai finalement regardé et j'ai eu raison. 

" il est venu au petit matin me reveiller, j'ai compri, dans la chambre à côté son coeur s'était arrêté. Mais plus qu'un coeur qui cesse de battre, c'est un combat contre l'ineluctable qui se terminait, la souffrance inutile pour une fin annoncée. Elle était là allongée, le sourire et le visage apaisée. Il m'a dit, tu veux lui fermer les yeux ? Et j'ai fermé ses yeux. Mes mains se souvienneent encore de ce geste. J'avais 15 ans et elle était à 15 jours de ses 40, elle ne les aura pas soufflé. Fermer les yeux de sa mère sur l'eternité, c'était boucler la boucle, elle avait ouvert les miens...."